Les gnous et les zèbres du Serengeti sont les acteurs du “plus grand spectacle de la Terre”. Ils font partie du plus grand mouvement migratoire d’animaux sauvages au monde, environ 2 000 000 d’ongulés se déplaçant constamment à la recherche de pâturages et d’eau dans le vaste écosystème du Serengeti.

Nous allons essayer d’en résumer les étapes ci-dessous, tout en gardant à l’esprit que les schémas migratoires ne peuvent être prédits avec précision car ils sont étroitement liés à l’évolution des pluies et à la disponibilité de l’eau.

Pendant les saisons de migration les plus intéressantes, nous organisons, en plus des safaris classiques sur mesure, des safaris en petits groupes de 6 personnes maximum à une date de départ fixe avec un guide parlant français, anglais, espagnol, allemand et italien.

Assister à la Migration dans le Serengeti est tout simplement ce que vous pouvez obtenir de mieux d’un safari en Afrique.

Entre décembre et avril, les troupeaux se rassemblent dans les plaines d’herbe courte, qui s’étendent de la zone de conservation du Ngorongoro au sud du Serengeti. C’est la saison des mises bas, 80% des nouveau-nés voient la lumière entre janvier et février et les prédateurs semblent bien le savoir.

C’est une période idéale pour visiter le centre-sud du Serengeti.

Les troupeaux migrants se dirigent vers le nord, vers les pâturages de la saison sèche, connus sous le nom de Triangle Mara. C’est le moment idéal pour les traversées épiques de la rivière Mara, hantée par d’énormes crocodiles. Les premiers gnous qui arrivent à la rivière sont très réticents à la traverser, mais à mesure que la pression monte de l’arrière, ils n’ont plus le choix et les traversées spasmodiques commencent. À la fin du mois d’août, certains gnous traversent le Kenya et entrent dans le Maasai Mara, tandis que de nombreux autres restent en Tanzanie.

En fait, la rivière Mara se trouve autant dans le Serengeti que dans le Maasai Mara kenyan. Mais alors que du côté kenyan, il y a des hébergements pour plus de 5000 visiteurs, ce qui se traduit par une forte pression touristique, du côté tanzanien il n’y a qu’une poignée d’excellents petits camps.